Le Conseil canadien des affaires étend sa présence internationale

 Le Conseil canadien des affaires (CCA) accroît sa présence internationale en ouvrant un nouveau bureau Indo-Pacifique et en renforçant son équipe d’Ottawa chargée des politiques en matière de commerce international.

À partir de septembre, Trevor Kennedy, vice-président, Indo-Pacifique, travaillera à partir d’un nouveau bureau du CCA à Tokyo, au Japon, en tant que représentant clé des intérêts commerciaux canadiens sur le marché dynamique de l’Indo-Pacifique. Trevor s’appuiera sur les liens solides et croissants qu’il entretient avec les dirigeants d’entreprises et de gouvernements de la région.

« Les chefs d’entreprise canadiens se tournent de plus en plus vers l’Ouest pour trouver des possibilités de croissance, et nous bénéficions d’une présence continue et permanente dans la région Indo-Pacifique », déclare Goldy Hyder, président et chef de la direction du CCA. « L’ouverture de ce nouveau bureau témoigne du leadership de Trevor Kennedy dans l’amélioration du profil du Canada dans la région et je suis convaincu que nous renforcerons encore davantage les liens interpersonnels importants entre nos communautés d’affaires ».

Le bureau de Tokyo est le deuxième bureau international du CCA. En 2023, le Conseil a accueilli John Dickerman en tant que vice-président, États-Unis, basé à Washington D.C. En outre, le CCA dispose d’un réseau de conseillers spéciaux, dont Mark Camilleri, basé à Bruxelles.

À Ottawa, le CCA a le plaisir d’annoncer que Daniela Lombardo s’est jointe au Conseil en tant qu’analyste de la politique commerciale. Daniela apporte une vaste connaissance du commerce international, des affaires étrangères, du développement durable et du développement économique. Ses recherches porteront sur le commerce canadien, en particulier avec les États-Unis et le Mexique.

« En tant que pays commerçant, il est essentiel que le Canada entretienne et développe ses relations internationales », déclare M. Hyder. « Daniela nous aidera à faire en sorte que les entreprises canadiennes disposent des connaissances et des outils dont elles ont besoin pour concurrencer les meilleures entreprises du monde ».